mercredi 21 décembre 2011

Croire ou penser?


Voilà, je ne vais pas vous révéler un scoop car ce n'est pas nouveau, les hommes croient des choses ou en quelque chose! Je ne vais pas parler du Père-Noêl mais plutôt des croyances qui peuvent paraître parfois aussi incroyables mais pas seulement.
Pour dire vrai, j'ai eu l'idée de ce billet car j'ai remarqué de manière plus flagrante ces derniers temps que souvent on est amené à croire un peu n'importe quoi, sans vérifier, sans savoir quelle est l'intention de la personne qui veut" donner de l'info"...et je trouve dommage que l'on préfère croire "vite fait "que de vraiment penser!




Quand on dit  croire, on pense bien sûr à la religion, à la politique, aux superstitions ou bien à la prédiction de l'apocalypse (il paraît que c'est pour bientôt, 2012...ah je crois qu'on a déjà entendu ça non? ).
Mais les croyances ne se limitent pas seulement à cela. On a aussi des croyances qui n'ont l'air de rien mais qui nous limitent pourtant :
- sur soi ( notre capacité à réussir ce qu'on entreprend, à être proche des gens, que l'on a pas de chance dans la vie, qu'on est supérieur ou inférieur aux autres... );
- sur les autres ("les gens sont comme ci, comme ça...," 'ils ne prêtent jamais attention à moi", "ils sont plus heureux", "c'est plus facile pour eux"...
-  ou sur la vie en général (il faut travailler dur, la vie c'est compliqué, ...).

Mais ces croyances nous limitent-elles? 

Elles nous limitent dans le sens où elles réduisent les possibilités, elle fige les choses (comme si le monde ne changeait pas) et on se sent impuissant à changer ça (ou bien on imagine qu'il faut une révolution pour cela). Elle nous isole et réduit notre curiosité, notre capacité à s'adapter, à rencontrer...pas de place pour le mystère...
Souvent, c'est même déprimant ou rasant...
Ces croyances, on les a souvent construite selon notre culture, notre éducation, notre histoire.

Mais pourquoi construit-on toutes ces croyances alors? 

En fait, croire c'est plus "aisée" que de vraiment penser. Et ça rassure ! Même  quand on prédit des scénarios catastrophes,   on a une explication du passé, on s'est pourquoi c'est comme ça aujourd'hui, et on peut prédire le futur. ..tout est écrit, simple, figé. 
Si vous regardez bien, quand on croit quelque chose, ça nous rend généralement peu capable de réellement réfléchir, trouver de nouvelles idées, être créatif...
On peut même être persuadé d'avoir raison, de connaître la vérité (que quelqu'un nous aurait transmis...?) et on n'aime pas trop qu'on vienne remettre ça en cause... La personne qui pense (ou croit?) différemment est source de remise en cause et donc de danger. Parfois, cela amène de la haine...
Le dialogue, la réflexion sont impossibles, chacun s'isole ou bien reste avec des personnes qui partagent les mêmes croyances...
C'est un outil de pouvoir pour certains, le moyen de contrôler d'autres personnes en jouant avec leurs peurs...Il s'agît de manipuler. car certaines personnes n'ont pas que des bonnes intentions...Et si l'on croit, on devient des proies, des êtres manipulables et de ce fait, fragiles.
Mais même  pour les croyances sur nous ou sur les autres,  on peut voir que cela nous rassure, nous donne une explication aux choses, à la vie et pourquoi elle est comme ça. Elles nous évitent de sentir la peur, la douleur...

Croire (quelque chose ou quelqu'un), c'est plus rassurant que de ne pas savoir, que le vide, que de penser à chaque instant et prêter attention à ce qui nous entoure, ce qui change, percevoir le monde qui bouge (car la vie change tout le temps...) et sentir.


C'est quoi penser vraiment? voici quelques pistes (non exhaustives, je vous invite à penser avec moi!) : 

- prendre la responsabilité ( à l'inverse de critiquer, juger, croire, se plaindre, se justifier)
- voir et vérifier la réalité  
- être curieux, changer de sujet en fonction de la réalité qui change (à l'inverse d'être obsédé avec un sujet)
- sentir ce qui est là, l'expérimenter (à l'inverse de comparer, repousser...)
- réfléchir et faire (à l'inverse de douter en permanence)
- être honnête (à l'inverse de mentir automatiquement)
- avoir confiance que l'on est capable de sentir et voir ce qui se passe dans la réalité (à l'inverse d'être arrogant, de se sentir important ou bien trop modeste, dramatiser, se raconter toujours la même chose...)
- demander à quelqu'un que l'on a choisit (à l'inverse de se parler à soi-même)
- tourner la page, accepté ce qui est arrivé (à l'inverse de tenir des comptes, être occupé avec le passé et le futur, d'être amer, être jaloux en permanence, se venger, manipuler automatiquement...)
- avoir une vision pour le futur (à l'inverse de prédire, d'être confus, vouloir contrôler la vie...)
......


La question n'est donc pas "qui croire?" mais bien "croire ou penser".

Voulez-vous penser?
Surtout faites le, ne croyez pas ce que je dis, SVP! 

Si vous sentez que certaines de vos croyances vous limitent dans votre vie et dans l'atteinte de vos objectifs, la Méthode Grinberg vous apprend comment vous tenez ces croyances dans votre corps (et oui, les croyances ne sont pas que dans la tête) et comment vous pouvez les lâcher. Elle va vous apprendre à penser avec tout votre corps afin d'être plus libre et stopper de vous limiter avec des croyances héritées de votre histoire et qui n'ont plus lieu d'être.



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dimanche 11 décembre 2011

Enlevons les masques!

J'entends souvent cette remarque que "les relations, c'est compliqué quand même..." En fait, beaucoup d'entre nous rencontrons des difficultés et de la frustration dans nos relations.

Et c'est un sujet important qui a une place centrale dans notre vie!



Que ce soit dans les relations familiales, professionnelles, amicales ou amoureuses,  on voit que c'est souvent pareil. En fait, c'est parce qu' on joue des rôles avec les autres.
C'est assez évident dans le monde professionnel où il y a beaucoup de codes mais si vous regardez bien c'est aussi le cas avec nos autres relations.

Par exemple, le rôle de la bonne amie qui écoute, du timide qui ne parle pas, de celui qui "met l'ambiance",  celui qui a un opinion sur tout,  celui qui est toujours coooool, celui qui fait la gueule,  celui qui parle tout le temps et n'écoute personne...Chacun en a un ou plusieurs selon les contextes (dans sa famille, avec ses collègues, ses amis, son compagnon...).

Ces rôles sont particulièrement prononcés dans nos familles.  Vous avez sûrement remarqué que chacun a un rôle bien défini. Rien ne change malgré les années, on se comporte encore comme quand on était enfant malgré les années qui passent...

Aucun rôle n'est meilleur qu'un autre mais ces rôles nous limitent. On les tient sans même s'en rendre compte, on croit même parfois que c'est nous : on est comme ça, on se définit et on nous définit de cette manière. Comme par exemple : "Ah, je suis timide, c'est mon caractère".
Avec ces rôles automatiques, le problème est justement qu'on ne les choisit pas. On les a appris depuis notre histoire, nos relations passées, notre éducation, notre culture...mais on n'a pas forcément envie de les tenir. On aimerait bien souvent s'en débarrasser d'ailleurs.

Mais qu'est-ce que ça fait à nos relations? 

Ces rôles font que nous ne rencontrons pas vraiment les gens autour de nous. On ne voit pas vraiment l'autre, on a du mal à se parler et à se comprendre, c'est toujours la même chose... Souvent on se juge et on juge les autres, ce qui rend difficile la vraie rencontre. Vous n'avez qu'à voir ce que cela vous fait quand vous vous sentez jugé...pas franchement envie d'être avec cette personne non?

Ces rôles peuvent devenir une véritable prison dont on ne sait plus comment se défaire...Pour certains, c''est si difficile qu'ils préfèrent s'isoler et éviter les autres, laissant place à de la frustration et de l'amertume.

Alors quoi faire? 

En fait, ces rôles on les tient dans notre corps : notre attitude, notre posture, notre façon de penser, de parler,  de nous percevoir et percevoir les autres, notre humeur, nos croyances...
On n'en a pas souvent conscience tellement c'est habituel, ancré en nous, surtout pour les rôles que l'on tient depuis tout jeune comme dans notre famille.

La méthode Grinberg propose d'apprendre à augmenter votre attention à comment vous créer ces rôles et comment gagner du contrôle sur eux. Le but est de vous en défaire (si vous les voulez bien sûr). Pas pour apprendre un nouveau rôle mais vous permettre d'être simplement vous même, tel que vous êtes à tel moment de votre vie, selon votre ressenti,...
Cela aura pour résultat d'amener plus de surprise dans votre vie, plus de véritables rencontres et de satisfaction dans vos relations,  et surtout d'être plus libre  en n'étant pas "obligé" de tenir des rôles.
On peut choisir de tenir un rôle ou pas mais ce n'est plus à notre insu.

Bref, enlevons les masques pour plus de liberté et de satisfaction dans nos relations et notre vie!

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vendredi 2 décembre 2011

Atelier "chevaucher la peur"

Un atelier sur le thème de la peur est organisé sur Paris! C'est pas si souvent alors profitez-en!
Il est animé par une entraîneur de la Méthode Grinberg, Martin Landert qui vient de Suisse.

Profitez-en pour relire l'article sur la peur et sur l'angoisse.

Il y a plein d'exercices pratiques pour vous apprendre à gérer la peur et l'utiliser au service de vos objectifs!
Il est ouvert à tous alors n'hésitez pas à vous inscrire! Toutes les infos sont dans le flyer ci-dessous.



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mardi 29 novembre 2011

La formidable capacité du corps à se réparer par lui-même!

J'ai posté une vidéo sur ARTE qui n'est malheureusement plus disponible...L'émission sera quand même rediffusé le mercredi 7 décembre mais à 3h15 du matin...

Mais bon, pour ceux qui ont loupé, je ne vais pas faire un résumé mais seulement en profiter pour vous parler de la formidable capacité du corps à se réparer par lui-même!

 Qu'est-ce que cela veut dire exactement?

Pour ce qui est de comment ça marche dans nos cellules, la science cherche mais on peut voir dans les processus de la Méthode Grinberg que cela marche très bien.

Par exemple, suite à un accident, vous êtes blessé. Vous avez eu très peur (de mourir ou de vous faire mal) et peut être il y a beaucoup de douleur. La difficulté est que quand vous sentez cette peur ou cette douleur, vous la bloquez (d'autant plus que c'est intense). Comme je l'ai déjà expliqué dans des articles précédents, on a pris l'habitude de réagir à la peur et la douleur pour moins les sentir. Cette façon de se bloquer empêche le corps de faire ce qui est bon pour lui pour se réparer et le prive de ces énergies.
En fait, si vous ne vous bloquez pas, le corps peut récupérer plus vite, il utilise ces énergies pour se ré-équilibrer au mieux. En fait, il sait très bien quoi faire. Même si vous avez besoin de soins (par exemple des fractures ou s'il y a risque d'hémorragie), bien sûr ces soins sont nécessaires mais si vous ne vous bloquez pas, vous allez guérir mieux et plus vite.

Pas facile aujourd'hui car peu de gens laissent leur corps "tranquille" en ne réagissant pas à la peur ou la douleur. Mais pas de fatalisme car vous pouvez apprendre cela. Et c'est ce qu'on fait dans la Méthode Grinberg. On vous apprend à ne plus réagir à la peur ou la douleur en vous bloquant  et à permettre au corps de récupérer.
On a même une spécialité qui s'appelle le "recovery" et qui est adapté aux personnes qui ont des blessures dues à des accidents, pour guérir plus vite et récupérer au mieux ce qu'ils ont "perdus" dans l'accident.

Mais même en dehors de ces cas d'accidents, vous pouvez apprendre à laisser le corps récupérer des qualités que vous avez "abîmées" à force de vous bloquer.  Par exemple, à force de vous tendre dans la nuque, vous avez perdu de la souplesse et vous ne pouvez plus bouger la tête facilement. Ou encore, vous avez des problèmes de constipation à force de vous contracter dans certaines zones du ventre. Quand vous ne bloquez plus la peur, cette énergie peut circuler dans votre corps et permettre de réparer des zones de votre corps qui ont été "endommagées". Vous pouvez ainsi retrouver de la souplesse, de la légèreté, de la force, mais aussi des capacités à vous concentrer, à penser clairement, à être silencieux...En résumé, votre corps sera en meilleur santé et vous vous sentirez mieux.

Bref, le corps est plein de ressources si on apprend à l'écouter et lui donner plus d'attention. Au lieu d'être vécu comme une source de problèmes, il peut devenir une source de bien-être.



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jeudi 24 novembre 2011

Ces symptômes qui nous dérangent (offre limitée inside) !

Qui n'a pas des symptômes qui le dérangent dans sa vie? Certains ça peut carrément leur pourrir la vie (au point qu'ils deviennent obsédés par ce symptôme), d'autre c'est juste quelque chose d'un peu gênant (pour l'instant...) mais avec lequel ils se sont résigner à vivre...

Voici quelques exemples de symptômes chroniques :
- maux de dos
- maux de tête, migraines
- maux de ventre,
- constipation
- brûlure d'estomac,
- ballonnement
- difficulté à digérer certains aliments,
- problème de circulation dans les jambes
- sinusite
- douleurs aux yeux, problèmes oculaires,
- douleurs au niveau des gencives,
- douleurs articulaires...

Un symptôme est  un signe que le corps envoie pour attirer notre attention, pour nous dire que quelque chose ne va pas dans notre façon de fonctionner. En fait, le corps déteste qu'on l'utilise toujours de la même façon. Par exemple, quand on conduit plusieurs heures d'affilée, au bout d'un moment, on commence à sentir de la gène, des douleurs dans certaines zones du corps. Et on finit par être obligé de s'arrêter pour bouger un peu. Et oui, le corps n'aime pas rester statique trop longtemps. Et force est de constater que de nos jours, on est souvent dans les mêmes positions, les mêmes attitudes,  presque tous les jours...

Pour ces symptômes chroniques, la médecine est peu efficace puisque les médicaments (s'ils fonctionnent) généralement ne marchent pas longtemps (au bout d'un moment, le signal augmente, ou le corps "contourne" le médicament, c'est le cas des migraines par exemple) et ils ont aussi des effets secondaires si on les prend à long terme.
Bref, la médecine qui s'attaque aux conséquences plutôt qu'aux causes  est limitée pour soigner ces symptômes chroniques.

Mais heureusement, je connais un autre moyen de diminuer l'intensité et de faire disparaître un symptôme. OUF! Il y a une autre attitude que de se résigner, "vivre avec" et souffrir en silence...

Déjà, vous pouvez identifier ces moments où vous êtes dans la même position,  la même posture ou attitude. Vous pouvez dans cette situation, prêter attention aux efforts que vous faites (dans quelles zones du corps, comment) et essayer de les relâcher. Pour aller plus loin, vous pouvez venir me voir pour apprendre à gagner de l'attention et du contrôle sur ce symptôme avec la Méthode Grinberg que je pratique.

La méthode Grinberg est une méthode très originale car au lieu de détourner votre attention de ce symptôme, elle vous apprend à mieux connaître comment vous le créez dans le corps, à gagner du contrôle sur la zone concernée et à stopper de créer ce symptôme. Vous allez apprendre à être plus attentif aux signaux que vous envoie le corps et apprendre de nouvelles possibilités.
C'est très simple et très sain! Et les résultats sont impressionnants (allez voir les témoignages)!
En plus, en ce moment, je vous fais profiter d'une offre exceptionnelle !

Je vous propose 4 séances d'une heure focalisée sur un symptôme  à un tarif exceptionnel de 10 euros par séance (c'est 25% du prix habituel).

Alors, plus de raisons d'hésiter!

Les places sont limitées donc dépêchez-vous de m'écrire à l'adresse suivante :
kateblogm (at) gmail.com


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lundi 21 novembre 2011

Bienvenue aux lectrices de (dé)maquillages!

Et oui, je voulais souhaiter la bienvenue sur ce blog au lectrice de (dé)maquilages!

Et merci aux participantes du concours!
Les trois gagnantes ont été annoncées  sur le site mais je les rappelle ici :
Pour les 3 séances : Steph93
Pour la séance découverte d'1h30 : lolottefromparis et Marie


Voilà, n'hésitez pas à participer à ce blog en donnant votre avis,  vos témoignages, poser des questions...

D'ailleurs en parlant de témoignages, en voici quelque uns:



Fifi les bons tuyaux

J'ai eu l'occasion de tester et de suivre cette méthode pendant plusieurs semaines et je dois dire que cela m'a beaucoup apporté. J'ai découvert que certaines choses déclenchaient chez moi des comportements et des réactions qui créaient des blocages. Catherine m'a aidé à en prendre conscience et m'a beaucoup apporté pendant ces séances. J'ai du stoppé pour le moment pour des raisons personnelles mais j'espère reprendre dès que possible.
15 novembre 2011 11:35


Laurie a dit…
Pour avoir eu la chance de gagner des séances avec Catherine grâce à ce blog il y a déjà un certain temps maintenant, je ne peux que vous recommander d'essayer. Je regrette vivement de ne plus être à Paris, car j'aurais volontiers poursuivi le "travail" avec Catherine.
Merci à Sophie et Catherine pour la découverte de la méthode Grinberg dont je n'avais jamais entendu parler auparavant.
17 novembre 2011 20:28


Stéphanie a dit...

Bonjour à tous,
J'ai bénéficié d'une séance d'essai et je voulais te remercier encore pour cette expérience, Sophie.
Je dois dire que cela m'a "retournée" cette petite séance ! j'avais l'impression d'être passée sous un 38T !
bizarre , je ne suis pas complétement bluffée mais très impressionnée quand même et curieuse (donc j'y retourne). C'est étrange quand même. elle découvre des choses...Ces massages sont loin de la catégories guili-guili , on peut même dire que cela est assez douloureux (dans mon cas au moins) mais j'espère que je vais voir des changements notables dans ma vie ;o)

13 juillet 2010 17:17


Ennalla a dit…
Bonjour So,

j'ai testé hier la séance offerte via ton site (merci merci!!).

Après environ 1h d'échange et d'étude de mes pieds, j'ai eu le droit à une petite séance de "massage" des pieds, avec des moments douloureux aussi (certains points sensibles qui révèlent une tension si j'ai bien compris).
J'en suis ressortie détendue et zen comme rarement.

J'ai été suffisamment intéressée pour reprendre rendez-vous: elle a réussi à trouver un point de blocage récurrent dans mon mode de fonctionnement! Je ne sais pas si ce sont mes pieds qui le lui ont dit, mais on va voir si elle arrive à me faire dépasser ce point!!

16 juillet 2010 15:04


Nolwenn a dit...

"Bonjour,

Moi je peux aussi dire que grâce à la méthode grinberg je me sens beaucoup mieux, beaucoup plus en "accord avec moi meme" et j'ai trouvé une confiance en moi que je n'avais jamais vu et eu jusque là. Si vous vous souvenez de moi, voici quelques nouvelles: j'ai désormais un emploi que j'aime en CDI et avec des responsabilités (chose qui aurait été impossible avant) et j'ai décroché mon permis de conduire du premier coup (moi qui était une stressée au volant) tout ça en l'espace de 2 mois et à la suite de nos rendez vous. La méthode grinberg m'a fait poussé des ailes je crois et je suis bien heureuse d'en avoir découvert l'existence. "



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mardi 15 novembre 2011

Venez danser avec la peur!

Dans notre culture, on fait tout pour éviter la peur. On prend des assurances, on construit des murs autour de nous, on se regroupe dans des villes, on croit tout ce qu’on nous raconte (ou l’inverse), on prend des drogues, on a plein de routines, la sécurité est une obsession, on vit en couple parce que ça nous rassure… 

Mais pourquoi ?

Qui a dit que la peur c'était mal???
La peur est pourtant une énergie fondamentale qui nous permet de survivre. Elle nous rend plus attentifs à ce qui se passe autour de nous. Elle nous rend plus performants pour penser, fuir ou attaquer. Par exemple, on va se découvrir une force incroyable dans une situation où il y avait un danger : on va être très rapide, on perçoit des détails, on court bien plus vite qu’on ne croyait être capable...

Bon, c’est vrai qu’il est assez rare aujourd’hui d’être dans des situations où il y ait un grand danger et où l’on ait très peur. Mais il y a pas mal de situations dans notre vie quotidienne où l’on ressent de la peur mais on fait quelque chose pour ne pas la sentir. Comme de créer des routines (j’ai écrit un article en octobre sur ce sujet), on est angoissé, on est paralysé par la peur, on développe des dépendances, des tics, on s’isole, on prétend qu’on n’a pas peur, on joue un rôle…

Pour donner un exemple plus concret, quelqu’un qui a très peur d’être trahi (peut-être a-t-il été trahit d’ailleurs dans sa vie). Dès qu’il se retrouve dans une situation où quelqu’un veut se rapprocher de lui, cette personne va prendre des distances en devenant froide, elle ne va pas regarder la personne dans les yeux, elle va être occupé avec chercher à savoir si la personne en face est digne de confiance…L’autre personne ressent cette distance. Et l’on passe peut-être à côté d’une rencontre…

Ou encore, une personne qui a très peur d’être jugé par les autres et qui se retrouve dans un groupe, elle va être très occupé avec l’image qu’elle donne d’elle-même, à chercher des signes chez les autres s’il la juge et comment. La personne ne va pas du tout être naturelle, spontanée…

Il y a plein d’exemples comme ceux-là.

Si vous pensez à vous-même, certainement il y a des situations qui vous font peur et dans lesquelles vous n’êtes pas comme vous voudrez ou pas à l’aise. Cette attitude qui bloque la peur, vous la connaissez depuis longtemps, vous pensez même qu’elle fait partie de vous-même.

Cette attitude est très liée à votre histoire. Si vous avez eu très peur à un moment de notre vie et que vous ne l’avez pas expérimentée dans le corps, celle-ci reste bloquée dans notre corps. C’est de la « vieille » peur en quelque sorte. On peut aussi parler de « mémoire » du corps.

Alors quoi faire ?

Vous pouvez apprendre à ne pas bloquer cette peur dans votre corps avec la Méthode Grinberg. Vous pouvez apprendre à identifier, sentir comment vous évitez la peur en bloquant votre corps. Vous pourrez ensuite apprendre à ne plus la bloquer, expérimenter les vieilles peurs que vous avez bloquées à certain moment de votre vie.

La peur ne sera plus quelque chose qui vous empêchera d’aller vers ce que vous voulez faire ou d’être vous-même. Mais plutôt une source d’énergie et d’excitation qui vous rendra plus performant et plus fort et vous permettra de réaliser vos rêves.


Ainsi, comme M Ramesh en parle si bien, venez apprendre à danser avec la peur !







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jeudi 3 novembre 2011

Bonjour l'angoisse!


Beaucoup d'entre nous avons expérimenté l'angoisse au moins une fois dans sa vie, certains sont même des angoissés chroniques. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est pas une expérience très agréable...

C'est une sensation très physique : on contracte beaucoup la zone du diaphragme, la poitrine peut devenir plus dure, serrée, on a presque l'impression d'étouffer.
Ca s'accompagne d'un sentiment de panique, on cherche ce que l'on peut faire pour que ça s'arrête au plus vite.  Et on cherche plutôt dans notre tête que dans notre corps...on est très occupé avec ce que l'on doit faire,  on essaie de penser à autre chose, on se demande  qu'est-ce qui ne va pas,  si on ne devient pas fou...
On a souvent cette sensation d'être complètement coupé de son corps et du sol. D'ailleurs, on perd beaucoup de sa confiance en soi, en la vie dans ces moments là.

On parle aussi d'anxiété quand la sensation est plus légère, moins aigue.

Alors pourquoi on est angoissé?

En fait, l'angoisse est quelque chose que l'on fait dans le corps quand on a peur.  D'ailleurs, pour les gens angoissés, ils confondent souvent les 2 : peur veut dire angoisse.
Mais en fait, c'est bien différent, l'angoisse est une réaction à la peur et non la peur elle-même. L'angoisse est le résultat de ce qu'on crée dans le corps (bloquer sa respiration, contracter le diaphragme...) pour ne pas sentir cette peur.

Alors ne vaut-il pas mieux sentir la peur ? 

Quand on comprend ça, oui, il vaut mieux sentir la  peur que de s'angoisser. Mais souvent les personnes angoissées ne savent pas comment elle crée cette sensation dans le corps et ne la contrôle pas.
Et c'est ce qu'elles peuvent apprendre avec la Méthode Grinberg, à reconnaître cette sensation, comprendre comment elle la créé et contrôler ce qu'elles font. Ainsi, elles peuvent arriver à arrêter cette sensation d'angoisse vraiment désagréable. Elles auront plus peur, mais qui a dit que la peur était quelque chose de désagréable? Elle est en fait bien utile...et c'est un sujet que je vous réserve pour mon prochain billet!


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lundi 24 octobre 2011

A bas les routines ?!?

On est tous plein de routines non ? Tous les matins, on fait les choses dans le même ordre, on mange et boit toujours la même chose au petit-déjeuner, on se lave, se brosse les dents toujours de la même manière…
Le soir, on se jette sur l'ordinateur ou la télé.

Si vous remarquez bien, c’est souvent le matin et le soir qu’on a le plus de routine dans nos vies.

Mais pourquoi on est comme ça ?

En fait, la routine, c’est une chose que l’on fait sans y prêter attention. C’est automatique, on n’a pas besoin d’être vraiment là puisqu'on sait, souvent on peut penser à  d’autre chose.

En fait, ça nous rassure. On a moins peur quand on fait les choses d’une façon que l’on connaît et que l’on répète.

Mais la conséquence est qu’on est moins là, que l’on ne perçoit plus ce qui se passe autour de nous. Ça vous est jamais arrivé de conduire de manière tellement automatique que vous ne vous souvenez plus de ce qui s’est passé pendant un temps…

Si on ne s’arrête pas, on crée de plus en plus de routines dans notre vie. Vous pouvez d’ailleurs voir comme les personnes âgées ont beaucoup de routines, ils font la même chose tous les jours, aux mêmes heures. À tel point que si on les perturbe trop, elles peuvent en mourir…

Ça enlève du « piment » à la vie, tout se ressemble, on s’ennuie…

Bien sûr  certaines routines sont très utiles, comme de savoir conduire ou de ne pas être obligé de lire la notice d’utilisation de la machine à café tous les matins…ouf!

Certaines routines ont l’air « bonnes », comme de manger que du pain au levain, s’habiller en coton bio…En fait, une routine n’est ni bonne ni mauvaise mais, par contre elles peuvent être dommageables. Comme toutes celles qu’on peut aussi qualifier de dépendance (fumer, manger quand on est triste et qu’on n’a pas faim…) ou bien de dormir toujours dans la même position ou encore d’être toujours en retard et de se sentir coupable ensuite…



En somme, une routine prend une grande part de notre attention et peut entraîner des dommages physiques et moraux.

Si on réduit une routine, on prête plus attention, on est plus présent, plus vivant, on perçoit plus autour de nous. On a plus de plaisir dans la vie, plus de surprises, de rencontres, on est plus attentif à ce qui se passe autour de nous. Quand on voyage dans un pays étranger, on oublie nos routines (du moins en partie) et souvent il en résulte que nous avons beaucoup plus d'attention, d'énergie. On se souvient de tout ce qui s'est passé, on peut le raconter.

La décision d’arrêter ou de diminuer une routine est une décision personnelle.

Mais attention à ne pas sombrer dans la répression ! Quand on veut arrêter une routine et qu'on arrête du jour au lendemain, cela se transforme en véritable obsession, on se fait violence, on peut être très anxieux, angoissé… Et généralement ça ne marche pas très bien…Il n’y a qu’à regarder le nombre de personnes qui essaient d’arrêter de fumer sans succès (bien sûr il y a la dépendance aux produits dans la cigarette mais cette dépendance cesse en deux semaines seulement).

Alors que faire ?

Si vous souhaitez réduire une routine, vous pouvez déjà commencer à y mettre votre attention. C’est-à-dire à sentir comment vous êtes, ce que vous faites, ce que vous sentez ou voulez éviter de sentir... Vous allez alors peut être vous surprendre à faire différemment. Attention néanmoins à ne pas faire une routine de changer de routine sans arrêt...et oui, pas si simple! Et aussi, arrêter une routine ne veut pas forcément dire de ne plus se brosser les dents ou de se laver par exemple...(s'il vous plaît merci!) mais à la faire en étant plus attentif.

Si vous ne parvenez pas à diminuer ou arrêter une  routine qui vous dérange ou qui vous porte préjudice, vous pouvez faire appel à la Méthode Grinberg. Elle va vous enseigner à augmenter votre niveau d'attention sur ce qui se passe quand vous êtes routinier. Vous allez apprendre à ne plus faire de manière automatique mais au contraire à être plus attentif à ce que vous avez envie de faire vraiment.  Bref, à avoir plus de surprises et de liberté!


 C'est un peu la routine tout ce texte en bleu...


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lundi 17 octobre 2011

Aïe, ça fait mal!

Quand la douleur arrive dans notre vie, notre premier réflexe est de tout faire pour l’éviter. Que ce soit une douleur physique comme une migraine ou un mal de dos, une blessure  suite à un accident ou bien la douleur d’un échec, d’une séparation, nous la vivons comme un traumatisme.
Dans le corps, on respire le moins possible, on se crispe, on devient rigide …
On cherche à l’expliquer, à la comprendre, ou bien on se plaint aux autres,  on la juge, on la perçoit comme une punition, on se sent coupable ou honteux, on devient très en colère,  on prétend qu’elle n’existe pas,  ou encore on est paralysé et incapable de fonctionner…Il y a plein de réactions possibles à la douleur mais toutes ont le même but : détourner notre attention de la douleur.



Alors que la douleur  peut être quelque chose qui nous permet d’apprendre de nos erreurs, d’augmenter notre niveau de conscience, de nous donner des motivations pour trouver de nouvelles solutions ou encore nous rappeler que nous sommes mortels (et oui, c'est pourtant vrai!), nous ressentons la douleur comme une souffrance sans fin qui nous affaiblie.

Si on n’est pas responsable des causes de la douleur, on est par contre responsable de notre façon d’y réagir. Mais la plupart d’entre nous n’en avons même pas conscience. Ces réactions à la douleur sont automatiques et nous les avons apprises depuis notre plus jeune âge en imitant les gens autour de nous, selon de notre éducation, notre culture.

Tout cela entraîne des difficultés à se reposer, à se relaxer, à travailler, à avoir du plaisir, des relations. On perd de la liberté de mouvement. Et c’est un vrai cercle infernal : plus on a de douleur, plus on se sent frustrée et notre vie finit par ressembler qu'à une bataille contre la douleur.
La douleur n’est ni bonne, ni mauvaise mais elle amène une certaine intensité dans nos vies. Plus on cherche à l’éviter, plus notre vie perd de son intensité.

En fait, la souffrance vient de la façon dont nous réagissons à la douleur plutôt qu'à la douleur elle-même.

Alors quoi faire ?
La douleur  ne peut être éliminée, elle est là mais on peut apprendre à gagner du contrôle sur notre façon d’y réagir.

Ainsi, vous pouvez apprendre à cesser tous les efforts que vous faites pour ne pas la sentir…et vous ferez ainsi l’expérience que la douleur peut se transformer, qu’elle ne dure pas éternellement, qu’au contraire de vous affaiblir, elle peut vous rendre plus fort.

La Méthode Grinberg enseigne à l'inverse de ce que nous avons l'habitude de faire, à mettre notre attention sur la douleur. Vous apprenez à reconnaître comment vous réagissez en créant des efforts dans le corps pour l’éviter puis à arrêter ces efforts qui vous coûtent de l’énergie et vous affaiblissent. En apprenant ainsi à expérimenter la douleur qui est là plutôt que de lutter contre elle comme vous l'avez appris, toute l'énergie investi dans ces efforts est à nouveau disponible.
On peut ainsi stopper des douleurs chroniques qui nous ont parfois pourries la vie!

Alors pourquoi continuer à souffrir plus longtemps?


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mardi 4 octobre 2011

Mais qu’avons-nous fait de nos rêves ?


Quand j’étais enfant et que je rêvais de ce que je voulais faire quand je serais grande, je me souviens d’avoir eu envie d’être vétérinaire (très classique non ?) ou d’être une sportive de haut niveau (je rêvais d’être une star du tennis même si je n’avais jamais tapé une balle de ma vie…), ou bien d’être une grande musicienne (je joue du piano) quoiqu’on m’ait très vite découragée dans cette voie…

Un peu plus tard, j’ai beaucoup rêvé de voyages, d’aventures, d’aller parcourir le monde…シテナ囲吋以흐훅휨慕木牧

Je me souviens aussi que quand ma grand-mère me disait « tu n’as qu’à te marier avec un grand médecin », je lui répondais dans un accès de rébellion et tapant presque du poing sur la table «et bien que ce serait moi qui serais médecin, na ! » et elle s’éclaffait d’un grand rire sonore ! Je crois qu’elle aimait bien ça finalement…pas peu fière de voir mon esprit épris de liberté ! Et des rêves à la clé !

Oui, parce qu’il s’agit bien de cela (le sujet de ce petit billet), vous parlez de nos Rêves d'enfants!

J’ai remarqué que bien souvent, on les a oubliés ou on y a renoncé. Et je me suis demandé pourquoi cela ?

C’est vrai que cela fait très peur. Je me souviens d’avoir été longtemps terrifiée par l’idée de voyager seule, il m’a fallu plusieurs années avant que j’ose y aller (j’ai toujours peur aujourd’hui mais sans être paralysée).

Je me suis souvent dit que c’était trop difficile, trop compliqué, que ce n’était pas le bon moment ou bien que je n’avais pas de chance, que je n’étais pas capable, …et le temps passe…

On finit par croire que l’on rêve trop, trop grand, qu’il faut se résigner. On essaie de voir plus petit, on regarde ce que font les autres, on se compare (souvent en se sentant plus faible ou malchanceux), on explique, on justifie, on est confus, on ne sait même plus ce qu’on veut…

Ainsi, on finit par se limiter, on n’agît plus dans la direction de nos rêves.

Pourtant, certaines personnes n’ont pas abandonné leurs rêves et bien souvent, ils y sont arrivés (on se demande alors quelle force surhumaine les anime…). Mais justement n’est-ce pas parce qu’ils n’ont jamais renoncé ? avec le peur, malgré les obstacles, les doutes, ils y ont toujours cru. N’est-ce pas cela qui les rend fort ?

Aujourd’hui, qu'ais-je fais de mes Rêves d'enfant ?

Je ne peux pas dire que j’ai respecté à la lettre mes rêves d’enfant (je ne suis pas vétérinaire, ni médecin…) mais j’ai un super métier, très exigeant, risqué mais qui remplit mon souhait de rencontrer des gens au-delà des rôles convenus. J’ai voyagé pas mal et j’ai l’intention de continuer dans cette voie. J’ai des projets qui je l’espère m’amèneront à réaliser mes rêves, petits ou grands !
Car je me souviens quand je ne rêvais plus, je suis devenu triste et faible…
Heureuement, j'ai pu reprendre contact avec mes rêves, mes désirs et mes aspirations notamment grâce à la Méthode Grinberg.

La méthode Grinberg enseigne  à y voir plus clair dans ce qu’on veut, à stopper de se limiter avec des croyances et des conclusions tirées de notre histoire, à avancer dans la direction que l'on a choisit  sans être paralysée par la peur mais au contraire en l’utilisant comme un moteur qui peut permettre de franchir tous les obstacles.

Et vous, qu’avez-vous fait de vos Rêves? Les avez-vous réalisés, oubliés ?


Il est toujours temps de rêver, tant qu’on est vivant non ?



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lundi 26 septembre 2011

C'est qui qui parle?


Me voilà enfin sur la blogosphère! Il paraît que c'est là que tout se passe...sans être aussi radical, je crois que si vous êtes là à me lire, c'est bien que c'est un mode d'expression qui vous parle! Mon ambition est de partager mes expériences et ce que je vis au travers de la méthode Grinberg, que je pratique en tant que cliente et praticienne depuis 2008.

Pas de prise de tête en vue, ni de conseils « bateau », ni de faire croire aux miracles, ni de convaincre, ni tout ce qui pourrait vous retirer votre liberté de penser par vous-même ! Loin de moi l’idée d’avoir raison, de savoir ce qui est bon pour vous (à votre place), de vous juger, ni de vous cirer les pompes d’ailleurs…Mais plutôt d’être curieuse, intéressée, sans ambiguïté, avec simplicité et sincérité !


Alors avant toute chose, je voulais aussi en dire plus sur moi pour que vous ayez quelque info sur « qui qui parle ».

J’ai découvert la méthode Grinberg en 2008 grâce à mon cousin (merci très cher !) qui m’en parlait sans jamais être capable de m’expliquer ce que c’était… mais peu importe, ce qui m’a marqué c’est qu’il en parlait avec beaucoup de cœur et d’enthousiasme, ce qui m’a définitivement convaincu d’essayer. Surtout que j’étais dans un moment de ma vie difficile où j’ai eu beaucoup de douleur à traverser et j’étais un peu perdue....

Au début, je ne peux pas dire que j’y comprenais grand chose non plus mais peu importe, ce que je voyais c’est que je me sentais bien mieux en sortant de mes séances qu’en y arrivant (j’avais beaucoup plus de silence et de clarté dans la tête) et puis peu à peu j’ai commencé à voir de vrais changements dans ma vie. J’avais plus d’énergie, plus d’envie, je rencontrais plus de gens, plus facilement, plus souvent. J’osais plus des nouveaux projets et j’avais plus de surprise dans la vie qu’auparavant (des évènements inattendus, surprenants même!).





J’ai été de plus en plus curieuse de ce travail qui m’a vraiment fait découvrir quelque chose de nouveau et qui changeait ma vie! Un peu marre aussi de la routine, des jours qui se ressemblent, de devoir faire des concessions…

En plus, j’ai toujours aimé le contact avec les gens, j’avais envie d’être dans une relation honnête et sincère avec eux alors pourquoi ne pas devenir praticienne ?

C’est comme ça que je me suis lancée dans la formation pour devenir praticienne en 2009. C’était parfaitement inattendu pour moi ! Et oui, j’ai une formation d’ingénieur agronome et j’ai travaillé pendant une dizaine d’année dans le monde agricole ! Pas vraiment la voix toute tracée…

Aujourd’hui je persévère puisque je travaille en indépendant dans le 4ème et 12ème arrondissement de Paris et j’ai résisté à pas mal d’offres d’emploi pour retourner dans mon ancienne voie. Je ne dis pas que je ne changerais pas de métier à nouveau ou que je n’y reviendrais jamais, tout est possible…Pour le moment, j’ai envie de continuer d’apprendre alors je continue.

Je suis actuellement en troisième année de formation (la dernière année avant d’être diplômée, si tout va bien !). Je me forme dans une école Suisse en Espagne et en Italie avec des gens qui viennent de plusieurs pays européen. J’aime beaucoup ce contexte très international et c’est vraiment une belle occasion de s’ouvrir à d’autres cultures.

Voilà pour une vous donner une idée de comment j’en suis arrivée là mais surtout n’hésitez pas à me poser toutes les questions qui vous taraudent à ce sujet ou de faire des commentaires.



Dans une autre rubrique, vous trouverez des informations sur ce qu’est la méthode Grinberg.



A bientôt !


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