lundi 24 octobre 2011

A bas les routines ?!?

On est tous plein de routines non ? Tous les matins, on fait les choses dans le même ordre, on mange et boit toujours la même chose au petit-déjeuner, on se lave, se brosse les dents toujours de la même manière…
Le soir, on se jette sur l'ordinateur ou la télé.

Si vous remarquez bien, c’est souvent le matin et le soir qu’on a le plus de routine dans nos vies.

Mais pourquoi on est comme ça ?

En fait, la routine, c’est une chose que l’on fait sans y prêter attention. C’est automatique, on n’a pas besoin d’être vraiment là puisqu'on sait, souvent on peut penser à  d’autre chose.

En fait, ça nous rassure. On a moins peur quand on fait les choses d’une façon que l’on connaît et que l’on répète.

Mais la conséquence est qu’on est moins là, que l’on ne perçoit plus ce qui se passe autour de nous. Ça vous est jamais arrivé de conduire de manière tellement automatique que vous ne vous souvenez plus de ce qui s’est passé pendant un temps…

Si on ne s’arrête pas, on crée de plus en plus de routines dans notre vie. Vous pouvez d’ailleurs voir comme les personnes âgées ont beaucoup de routines, ils font la même chose tous les jours, aux mêmes heures. À tel point que si on les perturbe trop, elles peuvent en mourir…

Ça enlève du « piment » à la vie, tout se ressemble, on s’ennuie…

Bien sûr  certaines routines sont très utiles, comme de savoir conduire ou de ne pas être obligé de lire la notice d’utilisation de la machine à café tous les matins…ouf!

Certaines routines ont l’air « bonnes », comme de manger que du pain au levain, s’habiller en coton bio…En fait, une routine n’est ni bonne ni mauvaise mais, par contre elles peuvent être dommageables. Comme toutes celles qu’on peut aussi qualifier de dépendance (fumer, manger quand on est triste et qu’on n’a pas faim…) ou bien de dormir toujours dans la même position ou encore d’être toujours en retard et de se sentir coupable ensuite…



En somme, une routine prend une grande part de notre attention et peut entraîner des dommages physiques et moraux.

Si on réduit une routine, on prête plus attention, on est plus présent, plus vivant, on perçoit plus autour de nous. On a plus de plaisir dans la vie, plus de surprises, de rencontres, on est plus attentif à ce qui se passe autour de nous. Quand on voyage dans un pays étranger, on oublie nos routines (du moins en partie) et souvent il en résulte que nous avons beaucoup plus d'attention, d'énergie. On se souvient de tout ce qui s'est passé, on peut le raconter.

La décision d’arrêter ou de diminuer une routine est une décision personnelle.

Mais attention à ne pas sombrer dans la répression ! Quand on veut arrêter une routine et qu'on arrête du jour au lendemain, cela se transforme en véritable obsession, on se fait violence, on peut être très anxieux, angoissé… Et généralement ça ne marche pas très bien…Il n’y a qu’à regarder le nombre de personnes qui essaient d’arrêter de fumer sans succès (bien sûr il y a la dépendance aux produits dans la cigarette mais cette dépendance cesse en deux semaines seulement).

Alors que faire ?

Si vous souhaitez réduire une routine, vous pouvez déjà commencer à y mettre votre attention. C’est-à-dire à sentir comment vous êtes, ce que vous faites, ce que vous sentez ou voulez éviter de sentir... Vous allez alors peut être vous surprendre à faire différemment. Attention néanmoins à ne pas faire une routine de changer de routine sans arrêt...et oui, pas si simple! Et aussi, arrêter une routine ne veut pas forcément dire de ne plus se brosser les dents ou de se laver par exemple...(s'il vous plaît merci!) mais à la faire en étant plus attentif.

Si vous ne parvenez pas à diminuer ou arrêter une  routine qui vous dérange ou qui vous porte préjudice, vous pouvez faire appel à la Méthode Grinberg. Elle va vous enseigner à augmenter votre niveau d'attention sur ce qui se passe quand vous êtes routinier. Vous allez apprendre à ne plus faire de manière automatique mais au contraire à être plus attentif à ce que vous avez envie de faire vraiment.  Bref, à avoir plus de surprises et de liberté!


 C'est un peu la routine tout ce texte en bleu...


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lundi 17 octobre 2011

Aïe, ça fait mal!

Quand la douleur arrive dans notre vie, notre premier réflexe est de tout faire pour l’éviter. Que ce soit une douleur physique comme une migraine ou un mal de dos, une blessure  suite à un accident ou bien la douleur d’un échec, d’une séparation, nous la vivons comme un traumatisme.
Dans le corps, on respire le moins possible, on se crispe, on devient rigide …
On cherche à l’expliquer, à la comprendre, ou bien on se plaint aux autres,  on la juge, on la perçoit comme une punition, on se sent coupable ou honteux, on devient très en colère,  on prétend qu’elle n’existe pas,  ou encore on est paralysé et incapable de fonctionner…Il y a plein de réactions possibles à la douleur mais toutes ont le même but : détourner notre attention de la douleur.



Alors que la douleur  peut être quelque chose qui nous permet d’apprendre de nos erreurs, d’augmenter notre niveau de conscience, de nous donner des motivations pour trouver de nouvelles solutions ou encore nous rappeler que nous sommes mortels (et oui, c'est pourtant vrai!), nous ressentons la douleur comme une souffrance sans fin qui nous affaiblie.

Si on n’est pas responsable des causes de la douleur, on est par contre responsable de notre façon d’y réagir. Mais la plupart d’entre nous n’en avons même pas conscience. Ces réactions à la douleur sont automatiques et nous les avons apprises depuis notre plus jeune âge en imitant les gens autour de nous, selon de notre éducation, notre culture.

Tout cela entraîne des difficultés à se reposer, à se relaxer, à travailler, à avoir du plaisir, des relations. On perd de la liberté de mouvement. Et c’est un vrai cercle infernal : plus on a de douleur, plus on se sent frustrée et notre vie finit par ressembler qu'à une bataille contre la douleur.
La douleur n’est ni bonne, ni mauvaise mais elle amène une certaine intensité dans nos vies. Plus on cherche à l’éviter, plus notre vie perd de son intensité.

En fait, la souffrance vient de la façon dont nous réagissons à la douleur plutôt qu'à la douleur elle-même.

Alors quoi faire ?
La douleur  ne peut être éliminée, elle est là mais on peut apprendre à gagner du contrôle sur notre façon d’y réagir.

Ainsi, vous pouvez apprendre à cesser tous les efforts que vous faites pour ne pas la sentir…et vous ferez ainsi l’expérience que la douleur peut se transformer, qu’elle ne dure pas éternellement, qu’au contraire de vous affaiblir, elle peut vous rendre plus fort.

La Méthode Grinberg enseigne à l'inverse de ce que nous avons l'habitude de faire, à mettre notre attention sur la douleur. Vous apprenez à reconnaître comment vous réagissez en créant des efforts dans le corps pour l’éviter puis à arrêter ces efforts qui vous coûtent de l’énergie et vous affaiblissent. En apprenant ainsi à expérimenter la douleur qui est là plutôt que de lutter contre elle comme vous l'avez appris, toute l'énergie investi dans ces efforts est à nouveau disponible.
On peut ainsi stopper des douleurs chroniques qui nous ont parfois pourries la vie!

Alors pourquoi continuer à souffrir plus longtemps?


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mardi 4 octobre 2011

Mais qu’avons-nous fait de nos rêves ?


Quand j’étais enfant et que je rêvais de ce que je voulais faire quand je serais grande, je me souviens d’avoir eu envie d’être vétérinaire (très classique non ?) ou d’être une sportive de haut niveau (je rêvais d’être une star du tennis même si je n’avais jamais tapé une balle de ma vie…), ou bien d’être une grande musicienne (je joue du piano) quoiqu’on m’ait très vite découragée dans cette voie…

Un peu plus tard, j’ai beaucoup rêvé de voyages, d’aventures, d’aller parcourir le monde…シテナ囲吋以흐훅휨慕木牧

Je me souviens aussi que quand ma grand-mère me disait « tu n’as qu’à te marier avec un grand médecin », je lui répondais dans un accès de rébellion et tapant presque du poing sur la table «et bien que ce serait moi qui serais médecin, na ! » et elle s’éclaffait d’un grand rire sonore ! Je crois qu’elle aimait bien ça finalement…pas peu fière de voir mon esprit épris de liberté ! Et des rêves à la clé !

Oui, parce qu’il s’agit bien de cela (le sujet de ce petit billet), vous parlez de nos Rêves d'enfants!

J’ai remarqué que bien souvent, on les a oubliés ou on y a renoncé. Et je me suis demandé pourquoi cela ?

C’est vrai que cela fait très peur. Je me souviens d’avoir été longtemps terrifiée par l’idée de voyager seule, il m’a fallu plusieurs années avant que j’ose y aller (j’ai toujours peur aujourd’hui mais sans être paralysée).

Je me suis souvent dit que c’était trop difficile, trop compliqué, que ce n’était pas le bon moment ou bien que je n’avais pas de chance, que je n’étais pas capable, …et le temps passe…

On finit par croire que l’on rêve trop, trop grand, qu’il faut se résigner. On essaie de voir plus petit, on regarde ce que font les autres, on se compare (souvent en se sentant plus faible ou malchanceux), on explique, on justifie, on est confus, on ne sait même plus ce qu’on veut…

Ainsi, on finit par se limiter, on n’agît plus dans la direction de nos rêves.

Pourtant, certaines personnes n’ont pas abandonné leurs rêves et bien souvent, ils y sont arrivés (on se demande alors quelle force surhumaine les anime…). Mais justement n’est-ce pas parce qu’ils n’ont jamais renoncé ? avec le peur, malgré les obstacles, les doutes, ils y ont toujours cru. N’est-ce pas cela qui les rend fort ?

Aujourd’hui, qu'ais-je fais de mes Rêves d'enfant ?

Je ne peux pas dire que j’ai respecté à la lettre mes rêves d’enfant (je ne suis pas vétérinaire, ni médecin…) mais j’ai un super métier, très exigeant, risqué mais qui remplit mon souhait de rencontrer des gens au-delà des rôles convenus. J’ai voyagé pas mal et j’ai l’intention de continuer dans cette voie. J’ai des projets qui je l’espère m’amèneront à réaliser mes rêves, petits ou grands !
Car je me souviens quand je ne rêvais plus, je suis devenu triste et faible…
Heureuement, j'ai pu reprendre contact avec mes rêves, mes désirs et mes aspirations notamment grâce à la Méthode Grinberg.

La méthode Grinberg enseigne  à y voir plus clair dans ce qu’on veut, à stopper de se limiter avec des croyances et des conclusions tirées de notre histoire, à avancer dans la direction que l'on a choisit  sans être paralysée par la peur mais au contraire en l’utilisant comme un moteur qui peut permettre de franchir tous les obstacles.

Et vous, qu’avez-vous fait de vos Rêves? Les avez-vous réalisés, oubliés ?


Il est toujours temps de rêver, tant qu’on est vivant non ?



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